Les anabolisants
Molécule de testostérone (C19 H28 NO2)
Les anabolisants sont des hormones de synthèse qui sont proches d'une hormone naturelle présente aussi bien chez les hommes que chez les chevaux: la testostérone (voir ci contre)
La testostérone détruit d'une part le muscle (catabolisme), ce qui stimule sa reconstruction et permet le développement du muscle, et d'autre part elle reconstruit le muscle en stimulant la synthèse protéique (anabolisme). De cette manière, les muscles se développent de manière très rapide, mais cela peut être dangereus pour le cheval.
Les anabolisants sont bien sûr interdits, et il faut constamment mettre à jour la liste de produits illégaux, car on crée constamment de nouvelles molécules à effet anabolisant pour contourner les réglementations.
La testostérone détruit d'une part le muscle (catabolisme), ce qui stimule sa reconstruction et permet le développement du muscle, et d'autre part elle reconstruit le muscle en stimulant la synthèse protéique (anabolisme). De cette manière, les muscles se développent de manière très rapide, mais cela peut être dangereus pour le cheval.
Les anabolisants sont bien sûr interdits, et il faut constamment mettre à jour la liste de produits illégaux, car on crée constamment de nouvelles molécules à effet anabolisant pour contourner les réglementations.
Les dangers du déferrage
Depuis que l’homme a domestiqué le cheval, les fers servent à protéger la corne de l’érosion puisque comme le dit le proverbe: « pas de pied, pas de cheval ». Mais depuis près de deux décennies, les entraîneurs déferrent leurs chevaux pour améliorer leur vitesse en course. Il faut annoncer si le cheval est déferré, afin de ne pas désorienter les parieurs car le déferrage peut changer l'issue de la course. Il est autorisé chez les trotteurs, mais pas chez les galopeurs.
Les entraîneurs enlèvent les fers de leur cheval pour réduire le poids qu'il doit porter, et donc lui permettre de gagner la course plus facilement. Certains entraîneurs enlèvent aussi les fers des chevaux pour empêcher qu'ils ne se fassent mal s'ils "se touchent" (lorsque le sabot du cheval rentre en contact avec la jambe opposée).
Le docteur vétérinaire Claude Caillerai a étudié la question, et remarqué que le déferrage a des effets sur l’oxygénation du sang du cheval. C’est en fait l’impact du pied sur le sol, qui à travers le système d’amortissement du pied devient une sorte de pompe sanguine, et permet un passage plus rapide des globules rouges dans le sang. C'est ainsi que l'impact des sabots du cheval sur le sol permet une meilleure oxygénation. S'il n’y a pas de fer, les chocs sont plus grands et l'oxygénation n'en est que meilleure.
Mais il n’est pas toujours possible de déferrer les chevaux, à cause de problèmes de santé.
Le déferrage fait polémique concernant sur l’effet de ces pratiques sur la santé du cheval.
Récemment, beaucoup de cavaliers prônent le déferrage pour retourner à une équitation plus « naturelle ». Il n’empêche que le pied d’un cheval de course est soumis à de plus grandes forces que celui d’un cheval de club ou de propriétaire. Comme il court souvent, le déferrage peut entrainer des défauts de la corne, trop usée par les courses. De plus, le fer joue le rôle d'amortisseur et absorbe l’impact avec le sol. Sans fer, le choc non absorbé est désormais transmis le long de la jambe.
Les entraîneurs enlèvent les fers de leur cheval pour réduire le poids qu'il doit porter, et donc lui permettre de gagner la course plus facilement. Certains entraîneurs enlèvent aussi les fers des chevaux pour empêcher qu'ils ne se fassent mal s'ils "se touchent" (lorsque le sabot du cheval rentre en contact avec la jambe opposée).
Le docteur vétérinaire Claude Caillerai a étudié la question, et remarqué que le déferrage a des effets sur l’oxygénation du sang du cheval. C’est en fait l’impact du pied sur le sol, qui à travers le système d’amortissement du pied devient une sorte de pompe sanguine, et permet un passage plus rapide des globules rouges dans le sang. C'est ainsi que l'impact des sabots du cheval sur le sol permet une meilleure oxygénation. S'il n’y a pas de fer, les chocs sont plus grands et l'oxygénation n'en est que meilleure.
Mais il n’est pas toujours possible de déferrer les chevaux, à cause de problèmes de santé.
Le déferrage fait polémique concernant sur l’effet de ces pratiques sur la santé du cheval.
Récemment, beaucoup de cavaliers prônent le déferrage pour retourner à une équitation plus « naturelle ». Il n’empêche que le pied d’un cheval de course est soumis à de plus grandes forces que celui d’un cheval de club ou de propriétaire. Comme il court souvent, le déferrage peut entrainer des défauts de la corne, trop usée par les courses. De plus, le fer joue le rôle d'amortisseur et absorbe l’impact avec le sol. Sans fer, le choc non absorbé est désormais transmis le long de la jambe.